Cordebar

CORDEBAR

Location: France

Portrait :
J’ai 59 ans et je pratique la photographie depuis l’âge de 10 ans, ma mère étant photographe j’ai appris beaucoup à ces cotés. Par la suite j’ai suivi des cours non pas de photographie mais de croquis modèle vivant à l’école des Beaux-Arts de Boulogne sur Mer afin de me perfectionner dans le cadrage, dans la relation entre les couleurs, dans la composition et la perspective.

Mes lieux d’exposition en 2013 :
Le GMAC à Paris Bastille sur une semaine en mai 2013 – bain de foule très intéressant et varié permettant un échange, une approche très constructive avec les visiteurs, et les artistes.
La 6éme nuit de la photographie à Paris Saint Sulpice en juin 2013
Une exposition collective et multi discipline à l’espace Tout Azimut à Lille en juillet 2013
Une exposition personnelle à la galerie 88, rive Gauche à Valenciennes en novembre 2013
Une exposition permanente à la galerie Pour Toi l’Artiste à Valenciennes

Mon approche :
Ma démarche est de réaliser de photos-graphiques en imposant, inconsciemment ou non, un sens de lecture de l’œuvre tout en donnant une profondeur à la fois visuel et psychologique permettant au lecteur de créer sa propre interprétation, voir sa propre création.
J’ai adopté la forme géométrique carré ou rectangulaire en me basant sur la relecture des travaux de Malevitch sur le suprématisme et d’Henri Poincaré développant la géométrie non euclidienne apportant de ce fait une autre dimension (Pour moi rapportée à la suggestion, à l’imaginaire, à la création par l’esprit …)
Le regard étant attiré par les zones colorées, le lecteur va en premier lire les zones géométriques en couleurs puis va passer aux zones secondaires en noir et blanc. Le cerveau n’interprétant pas de suite la globalité de l’image ni de sa représentation à cause de la profondeur engendrées par les formes géométriques et de leur mouvement relatif, un déchiffrage va s’opérer par des aller et retour successifs entre ces zones, entre attractions et rejet des formes.
Puis la lecture va s’opérer en partant successivement de la première zone noir et blanc (le croquis) à la deuxième zone noir et blanc (Esquisse) pour finir sur l’aboutissement de la zone en couleur (la mise en couleur, l’œuvre finale)
Une image mentale va se créer, en fait l’image d’origine en faisant abstraction des formes géométriques et va permettre au lecteur et selon sa sensibilité de conceptualiser sa propre représentation.


Portfolio:

La Commedia dell'arte

Mon approche :
Ma démarche est de réaliser de photos-graphiques en imposant, inconsciemment ou non, un sens de lecture de l’œuvre tout en donnant une profondeur à la fois visuel et psychologique permettant au lecteur de créer sa propre interprétation, voir sa propre création.
J’ai adopté la forme géométrique carré ou rectangulaire en me basant sur la relecture des travaux de Malevitch sur le suprématisme et d’Henri Poincaré développant la géométrie non euclidienne apportant de ce fait une autre dimension (Pour moi rapportée à la suggestion, à l’imaginaire, à la création par l’esprit …)
Le regard étant attiré par les zones colorées, le lecteur va en premier lire les zones géométriques en couleurs puis va passer aux zones secondaires en noir et blanc. Le cerveau n’interprétant pas de suite la globalité de l’image ni de sa représentation à cause de la profondeur engendrées par les formes géométriques et de leur mouvement relatif, un déchiffrage va s’opérer par des aller et retour successifs entre ces zones, entre attractions et rejet des formes.
Puis la lecture va s’opérer en partant successivement de la première zone noir et blanc (le croquis) à la deuxième zone noir et blanc (Esquisse) pour finir sur l’aboutissement de la zone en couleur (la mise en couleur, l’œuvre finale)
Une image mentale va se créer, en fait l’image d’origine en faisant abstraction des formes géométriques et va permettre au lecteur et selon sa sensibilité de conceptualiser sa propre représentation.

La promenade des poissons rouges “La promenade des poissons rouges”

Mon approche :
Ma démarche est de réaliser de photos-graphiques en imposant, inconsciemment ou non, un sens de lecture de l’œuvre tout en donnant une profondeur à la fois visuel et psychologique permettant au lecteur de créer sa propre interprétation, voir sa propre création.
J’ai adopté la forme géométrique carré ou rectangulaire en me basant sur la relecture des travaux de Malevitch sur le suprématisme et d’Henri Poincaré développant la géométrie non euclidienne apportant de ce fait une autre dimension (Pour moi rapportée à la suggestion, à l’imaginaire, à la création par l’esprit …)
Le regard étant attiré par les zones colorées, le lecteur va en premier lire les zones géométriques en couleurs puis va passer aux zones secondaires en noir et blanc. Le cerveau n’interprétant pas de suite la globalité de l’image ni de sa représentation à cause de la profondeur engendrées par les formes géométriques et de leur mouvement relatif, un déchiffrage va s’opérer par des aller et retour successifs entre ces zones, entre attractions et rejet des formes.
Puis la lecture va s’opérer en partant successivement de la première zone noir et blanc (le croquis) à la deuxième zone noir et blanc (Esquisse) pour finir sur l’aboutissement de la zone en couleur (la mise en couleur, l’œuvre finale)
Une image mentale va se créer, en fait l’image d’origine en faisant abstraction des formes géométriques et va permettre au lecteur et selon sa sensibilité de conceptualiser sa propre représentation.

La passion “La passion”

Mon approche :
Ma démarche est de réaliser de photos-graphiques en imposant, inconsciemment ou non, un sens de lecture de l’œuvre tout en donnant une profondeur à la fois visuel et psychologique permettant au lecteur de créer sa propre interprétation, voir sa propre création.
J’ai adopté la forme géométrique carré ou rectangulaire en me basant sur la relecture des travaux de Malevitch sur le suprématisme et d’Henri Poincaré développant la géométrie non euclidienne apportant de ce fait une autre dimension (Pour moi rapportée à la suggestion, à l’imaginaire, à la création par l’esprit …)
Le regard étant attiré par les zones colorées, le lecteur va en premier lire les zones géométriques en couleurs puis va passer aux zones secondaires en noir et blanc. Le cerveau n’interprétant pas de suite la globalité de l’image ni de sa représentation à cause de la profondeur engendrées par les formes géométriques et de leur mouvement relatif, un déchiffrage va s’opérer par des aller et retour successifs entre ces zones, entre attractions et rejet des formes.
Puis la lecture va s’opérer en partant successivement de la première zone noir et blanc (le croquis) à la deuxième zone noir et blanc (Esquisse) pour finir sur l’aboutissement de la zone en couleur (la mise en couleur, l’œuvre finale)
Une image mentale va se créer, en fait l’image d’origine en faisant abstraction des formes géométriques et va permettre au lecteur et selon sa sensibilité de conceptualiser sa propre représentation.