Brigitte Krief

BRIGITTE KRIEF

Location: France

PARCOURS
Brigitte Krief se consacre à la peinture professionnellement depuis 1995 et expose régulièrement depuis dans des Salons, Galléries en France et à l’étranger.
A suivi les cours des Beaux Arts de Lyon et pris des cours avec des peintres de talent.
Participe à des stages qui lui permettent de se confronter à d’autres peintres.
N’appartient à aucune école, peint avec passion, aborde de multiples thèmes, adapte sa technique au thème choisi.
Souvent au cours d’une création elle découvre une nouvelle écriture qui lui permet d’avancer vers une nouvelle forme d’expression qu’elle explore alors.
C’est cette recherche qui crée sa motivation et sa passion.
Pour elle peindre c’est tenter de créer une émotion et d’emmener le spectateur quelque part dans un espace à la limite de la réalité, entre le figuratif et l’abstrait, dans son monde

TECHNIQUES UTILISEES
Huile
Acrylique
Technique mixte


Portfolio:

SOUVENIRS DU MAROC

Je suis née au Maroc que j'ai quitté à l'âge de 18 ans pour aller en France. Le Maroc a toujours été mon pays de cœur. Je n'y suis pas retournée avant de longues années et j'en ai eu la Nostalgie

ADOLESCENTE “ADOLESCENTE”

L'Adolescente Africaine ou l'enfance bafouée.
Elle est belle, elle est fière et seuls ses yeux expriment ce qu'elle ressent réellement

TOUAREG “TOUAREG”

LE PRINCE DES SABLES, touareg appelé souvent homme bleu car le chèche de couleur indigo qui recouvre sa tête déteint sur son visage . Ses yeux bleus font penser qu'il s'agit d'un berbère.
Il est présenté devant son cheval blanc.

TOUAREG ou HOMME BLEU “TOUAREG ou HOMME BLEU”

TOUAREG appelé souvent homme bleu car le chèche de couleur indigo qui recouvre sa tête déteint sur son visage . Ses yeux bleus font penser qu'il s'agit d'un berbère.

AFRICAINE FIERE “AFRICAINE FIERE”

AFRICAINE fière au port altier d'une grande beauté. Elle possède une présence naturelle et pourtant son regard est humble. Ses boucles d'oreilles montrent que c'est une femme du peuple.
Quand j'ai vu sa photo j'ai immédiatement voulu la peindre, elle me rappelait la "fatma" qui était venue travailler chez nous au Maroc, pour qui j'avais eu beaucoup d'affection. Elle a travaillé de 1953 à 1955 pendant la période de l’exil de sa Majesté Mohammed V. Ce temps de l’exil apparait dans l’historiographie du Maroc comme la période transitoire entre le protectorat et l’indépendance.
Elle faisait partie du staff des domestiques du palais qu'elle a du réintégrer au retour du roi lors de l'indépendance.
Cela a été un déchirement autant pour moi que pour elle.